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Insolite : Stéphane Ruel a réussi son incroyable Tour de la Manche en courant en 76 h 23' !

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Stéphane Ruel (à droite) avec son fils Pierre-Antoine, à quelques kilomètres du grand bonheur de la ligne d'arrivée.

Stéphane Ruel (à droite) avec son fils Pierre-Antoine, à quelques kilomètres du grand bonheur de la ligne d’arrivée. (©Pierre-Antoine RUEL)

Stéphane Ruel, de La Vendelée dans la Manche, a accompli son exploit. Et en moins de 80 heures, comme il le souhaitait !

Lire aussi : Insolite : ce coureur de l’extrême veut faire le tour de la Manche en moins de 80 heures !

Parti d’Isigny-sur-Mer, jeudi 20 février, à 6 heures du matin, il a parcouru 435 km pour réaliser tout le tour des côtes de la Manche jusqu’au Mont-Saint-Michel.

Moins de 8 heures de sommeil…

Un véritable exploit pour le natif de Saint-Lô, même si ce grand sportif de 54 ans est un ultra-runner confirmé.

Lire aussi : Tour de la Manche en courant : le défi sportif de Stéphane Ruel avance à grandes enjambées

Il a donc touché la merveille ce dimanche 23 février à 10 h 23, après 76 h 23′ de course… et un total de sommeil d’environ 8 heures.

Publiée par Pierre-Antoine Ruel sur Dimanche 23 février 2020

Le Mont en approche

Durant tout son exploit, son fils Pierre-Antoine l’a accompagné, encouragé, filmé pour faire un point régulier de l’avancée sur Facebook.

Publiée par Pierre-Antoine Ruel sur Dimanche 23 février 2020

Retour sur la dernière nuit :

Pontaubault : 417 km en 74 heures. La nuit a été éprouvante, le manque de sommeil se faisant sentir, les siestes de 2 h à Saint-Jean-le-Thomas et 1 h un peu avant d’arriver sur Avranches l’ont un peu reposé. Maintenant plus que 17 km, on en voit la fin, mais que c’est éprouvant avec ce temps !

Genêts : 395 km en 69 h (3 heures dimanche). La fatigue se fait sentir et par prudence on a demandé à Stéphane de dormir 2 h à Saint-Jean-le-Thomas avec 30’ de plus de pause pour manger, boire, se changer et discuter un peu. Pour couronner le tout, à la sortie de Saint-Jean-le-Thomas, la route prévue est barrée à cause des inondations : même pas possible de passer en voiture donc demi-tour droite et 2 km de rab !

Publiée par Pierre-Antoine Ruel sur Samedi 22 février 2020

Stéphane Ruel est à la Une de notre journal La Presse de la Manche de ce dimanche 23 février.

Engouement sur les réseaux sociaux

Le dernier soir, alors qu’il restait une cinquantaine de kilomètres à parcourir, son fils Pierre-Antoine nous confiait :

La nuit dernière, il a commencé à faire des arrêts plus fréquents pour se reposer. Il a eu très froid. Il prend le vent de sud-ouest de face et cela le ralentit. Le ressenti des basses températures le handicape également. Il a envie de dormir. Il a multiplié les microsiestes toutes les trois heures. Musculairement, c’est difficile. Moralement, il tient le coup. Cela lui arrive d’avoir des pensées négatives mais il s’accroche. On le rassure en lui disant que la fin est proche. Et que bientôt, il aura le Mont Saint-Michel sur sa droite, en ligne de mire.

Sur les réseaux sociaux, l’aventure a été largement commentée et les internautes fans, sportifs et non sportifs, n’ont pas cessé de l’encourager. De quoi mettre du baume au cœur dans les moments difficiles :

On sent véritablement un engouement sur les réseaux sociaux. Les gens l’encouragent, trouvent formidable son engagement, sa combativité. Il ne se rendait pas compte qu’autant de gens pouvaient être touchés par son défi exceptionnel, qui sera homologué.


XV de France. Cyril Baille confirme son forfait jusqu'à la fin du Tournoi des 6 Nations

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On craint une luxation de l'épaule droite pour le pilier du XV de France Cyril Baille.

Victime d’une luxation de l’épaule droite, le Toulousain Cyril Baille est forfait pour la fin du Tournoi des 6 Nations. (©Icon Sport)

Pour Cyril Baille, le Tournoi des 6 Nations est terminé. Le pilier gauche du XV de France (26 ans ; 19 sélections) a confirmé sur son compte Instagram qu’il s’était bel et bien luxé l’épaule droite face au pays de Galles samedi 22 février à Cardiff. Le Toulousain a confirmé son forfait jusqu’à la fin de la compétition.

Lire aussi : Les notes de Galles-France (23-27). Ntamack royal, Thomas seule déception

Titulaire sur le flanc gauche de la première ligne des Bleus, Baille avait réussi de belles prestations, grillant la politesse notamment à Jefferson Poirot. Il manquera donc le déplacement en Ecosse (8 mars) et la réception de l’Irlande au Stade de France (14 mars).

Gros titulaire en Ecosse ?

Cette blessure « va me tenir éloigné des terrains quelques semaines », a souligné Baille, sans pour autant en dire plus sur la durée exacte de son absence. Il va passer prochainement des examens complémentaires dans cette optique-là. C’est aussi un coup dur pour le Stade Toulousain, qui va devoir sans passer un moment.

Lire aussi : 6 Nations. Le XV de France bat le pays de Galles (23-27) : les enseignements à retenir

Cette blessure pourrait bénéficier au Toulonnais Jean-Baptiste Gros, qui a connu sa première cape à Cardiff. Dans la logique des choses, le double champion du monde U20 pourrait être propulsé titulaire pour le déplacement en Ecosse dans quinze jours. Jefferson Poirot, hors du groupe samedi, pourrait retrouver sa place dans les 23 pour affronter le XV du Chardon.

Affaire Fillon. Marc Joulaud témoigne : « la justice tranchera mais j'ai ma conscience pour moi »

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Marc Joulaud s'apprête à mener de front la campagne des municipales et le procès Fillon dans lequel il doit répondre de l'emploi présumé fictif de Penelope Fillon.

Marc Joulaud s’apprête à mener de front la campagne des municipales et le procès Fillon dans lequel il doit répondre de l’emploi présumé fictif de Penelope Fillon. (©Julie Hurisse / Les Nouvelles de Sablé)

Le mois qui s’annonce sera décisif pour la carrière de Marc Joulaud. Le maire de Sablé-sur-Sarthe, empêtré dans l’affaire Fillon a choisi, malgré le calendrier, de se présenter à sa succession pour les élections municipales. Ce lundi 24 février 2020 débute le procès. Mis en examen, Marc Joulaud devra y justifier d’avoir employé Penelope Fillon de 2002 à 2007. En parallèle, il mène sa campagne. La fin du procès est prévue pour le 11 mars, à quelques jours du premier tour. Retour sur 30 ans de vie politique dans les pas de François Fillon.

Votre carrière se glisse dans les pas de François Fillon. Comment avez-vous commencé à travailler pour lui ?

Ma première rencontre avec François Fillon date de fin 1991. J’ai répondu à une annonce. J’étais alors étudiant et il cherchait un collaborateur à Sablé. J’ai commencé à travailler pour lui le 3 janvier 1992. À l’époque, il était député maire. Ensuite de septembre 1995 à mars 1998, j’ai travaillé à ses côtés au département, il était alors également président du conseil départemental, puis régional.

Comment êtes-vous passé de l’ombre du cabinet à la lumière d’un mandat électif ?

En 2001, François Fillon devient ministre. Président de la Région Pays de la Loire, il ne peut pas cumuler avec le mandat de maire. Pierre Touchard mène la liste et tous deux me proposent de devenir adjoint. Je n’ai pas hésité. Puis en 2002, François Fillon me propose de devenir son suppléant. Il sait qu’il va devenir ministre. Là, la décision est différente. C’est la bascule intégrale. Il y a eu des discussions familiales, j’emmenais tout le monde. Il y a eu un peu de pression de François Fillon et j’ai accepté. C’est un choix qui n’était pas neutre.

« Penelope Fillon, je la voyais en fin de semaine »

C’est à cette période que la justice vous reproche l’emploi fictif de Penelope Fillon, de 2002 à 2007…

Je la voyais en fin de semaine généralement. Et j’allais toutes les semaines à Paris. On faisait un point hebdomadaire avec l’équipe de François Fillon, je la voyais là avec Sylvie Fourmont ou Pierre Molager.

Votre carrière se poursuit

En 2007, François Fillon devient Premier Ministre, il se présente aux législatives. Je suis son suppléant, je redeviens député. Puis à Sablé, Pierre Touchard arrête. Je deviens tête de liste et je suis élu. C’était beaucoup d’émotion. Suit la défaite aux législatives contre Stéphane Le Foll, qui a été difficile. Je deviens président de la communauté de communes de Sablé quand François Fillon part pour Paris, en 2012. Puis en 2014, réélu maire, je deviens aussi eurodéputé. C’est un mandat auquel je ne pensais pas. C’était une belle expérience.

Lire aussi : Affaire Fillon : l’Assemblée nationale va réclamer plus d’un million d’euros de préjudice

Arrive janvier 2017. Comment avez-vous vécu le lancement de l’affaire ?

Je suis Gare de l’Est pour aller à Bruxelles. Le téléphone sonne. Je ne peux pas répondre. C’est un journaliste du Canard Enchaîné qui me dit clairement qu’ils préparent un dossier sur Penelope et François Fillon. Ça va très vite. A Bruxelles, la presse appelle partout. Je sortais de réunion par des portes arrières. Le téléphone n’arrêtait pas de sonner. Les journalistes arrivent à Sablé. La chasse était ouverte.

Au début, vous avez choisi le silence

Je n’étais pas préparé à ça. C’était énorme. Chaque jour la vague est un peu plus haute. Et parler, c’était l’alimenter. Certains journalistes étaient corrects, d’autres sont allés jusqu’à attendre devant chez moi. Ça a été dur jusqu’à la présidentielle.

Quel a été le moment le plus compliqué ?

La perquisition a été brutale. Un matin, ma fille me dit : il y a plein de voitures, les journalistes sont revenus. Le juge Tournaire frappe à ma porte avec le juge Buresi et six policiers. On nous dit de ne plus toucher à rien. Ils regardent tout, le bureau, le dressing, la chambre. Ils ont même regardé si le canapé n’avait pas un double fond alors qu’on me reprochait des faits qui dataient de 2007 à 2012. Ma fille passait le bac blanc ce jour-là. J’ai dû insister pour l’emmener et ça a été accompagné d’un policier. À suivi la perquisition de la mairie et quatre jours après, j’ai été entendu pendant huit heures par les juges à Nanterre. On m’a expliqué après que la perquisition était une mise en condition. Je ne vois pas ce que j’aurais pu cacher.

« François Fillon, je lui ai gardé ma loyauté »

Comment avez-vous surmonté ce moment-là ?

On vit au jour le jour. Il faut tenir bon. Je me suis dit François Fillon c’est François Fillon, et moi c’est moi. J’avais mon parcours à faire. L’épreuve m’a montré que je pouvais tenir le coup. On en sort plus fort. Avec François Fillon, on se voit régulièrement. Je lui ai gardé ma loyauté. La fidélité, c’est une question de morale.

Lire aussi : François Fillon sur France 2 : « Je pense que je dois des explications aux Français »

Quel a été le regard des Saboliens pendant cette période ?

Début 2017, quelques regards et quelques chemins se sont détournés. Ça a duré quelques semaines puis c’est revenu sur de la compassion. Ils se sont dit que c’était brutal sur le fond. Aujourd’hui, on me parle du procès mais sans méchanceté.

Malgré un calendrier peu favorable, vous avez décidé de vous représenter ?

J’aime profondément exercer mes fonctions d’élus. J’ai interrogé mes colistiers un par un. Si on m’avait répondu que ce n’est pas possible, je n’aurais pas forcé.

La justice tranchera mais j’ai ma conscience. En aucun cas il n’est question d’enrichissement.

Comment allez-vous mener de front la campagne et le procès ?

Le calendrier est difficile. Les réquisitions sont le lundi 11 février pour un premier tour le dimanche suivant. Le procès commence le 24 février et s’achève le 11 mars. Je ne suis concerné que par deux demi-journées. Il faudra aussi que je sois présent pour le réquisitoire du procureur et les plaidoiries de la défense, et j’y tiens.

Je resterai très présent à Sablé pour faire campagne.

Quels seront vos axes de défense ?

On me reproche d’avoir employé Penelope Fillon sur un poste de collaborateur sur un emploi fictif ou surévalué. La question va porter sur le contenu du poste pour moi comme pour François Fillon. Ma défense sera d’expliquer son rôle auprès de moi. Il y aura aussi un débat de droit. Un juge judiciaire peut-il apprécier le travail d’un collaborateur, au titre de la séparation des pouvoirs ?

Quid du jugement ?

Le jugement sera mis en délibéré. Il ne sera vraisemblablement pas rendu avant juin ou peut-être septembre. Ce qui est important pour moi, c’est qu’il n’y ait pas d’inéligibilité. Si le jugement ne me convient pas, je ferai appel. La procédure repartira pour un ou deux ans. Il pourra ensuite y avoir cassation.

Comment appréhendez-vous le procès ?

C’est un exercice inconnu. J’y vais concentré en essayant d’être le plus préparé tout en restant calme. Mais le trac est là, forcément.

Depuis quelques semaines, vous faites un bilan de compétences. Vous préparez l’après ?

Ça peut servir de faire le bilan de ses points forts, de ses points faibles que ce soit dans mes fonctions si je continue ou dans d’autres si besoin.

Maintenant, quoi qu’il arrive, dans un mois je serai en grande partie fixé.

J'ai testé pour vous. Du savon fait main, pour les mains

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Un joyeux brouhaha régnait au Petit Bonheur autour de la table où nous avons appris à faire du savon pour les mains, de nos propres mains.

Un joyeux brouhaha régnait au Petit Bonheur autour de la table où nous avons appris à faire du savon pour les mains, de nos propres mains. (©Le Républicain)

L’association Debout sur le Lot de Clairac, organise, ce dimanche 23 février 2020 à 15h à la Halle un atelier de fabrication de crème hydratante

Cette association a récemment animée un atelier pour créer soi-même un liquide vaisselle à Tonneins, au Petit Bonheur.

Nous y étions…

« C’est moi qui l’ai fait ! »

J’avoue : l’idée d’aller fabriquer un savon pour les mains et la vaisselle moi-même m’a fait pouffer de rire…

C’est vrai quoi ! Pourquoi m’enquiquiner à faire ce genre de tambouille alors qu’on en trouve plein les magasins ?

Ben justement. Parce qu’on en trouve plein (trop ?) dans les magasins. Parce qu’on ne sait pas vraiment ce qu’il y a dedans et qu’au final ça fait beaucoup d’emballages (en plastique cela va sans dire) qui vont finir à la poubelle.

Et puis faut bien avouer que c’est assez rigolo d’utiliser au quotidien des choses que l’on a fabriqué. Ce que confirme Gentiane Breuil, présidente du Petit Bonheur, « c’est dans l’air du temps d’utiliser des produits plus écologiques, savoir ce qu’il y a dedans et être autonome ! On se rend compte qu’avec peu de produits on arrive à faire plein de choses et ça évite d’avoir tout un tas de bouteilles ».

Et la satisfaction personnelle du fait soi-même ».

Qu’importe le flacon…

C’est ce qui m’a convaincue de pousser la porte du Petit Bonheur ce jeudi-là pour l’atelier « fabrication de savon » réalisé en partenariat avec l’association de Clairac Debout sur le Lot.

Autour de Caroline, l’animatrice du jour, bénévole à l’asso clairacaise et naturopathe à Tonneins, une dizaine d’apprentis… uniquement des femmes. Certaines ont déjà de la bouteille en matière fabrication de produits en tous genres et un joyeux chahut règne autour de la table. « Moi pour l’assouplissant, je mets dans un grand bidon du vinaigre blanc et quand j’ai des épluchures d’orange ou de citron je les fais macérer… »

Echanges d’astuces, c’est toujours bon à prendre, je note et ajoute les citrons sur ma liste de course !

On touille, on touille

Mais revenons à notre savon du jour.

Une grande marmite trône au milieu, non loin d’un entonnoir, des bouteilles vides en verre ou plastique « le tout est qu’on ne jette pas le plastique, on peut le réutiliser » sourit Gentiane Breuil.

Caroline nous promet que c’est facile, qu’on peut adapter les ingrédients suivant la texture souhaitée, « comme quand on fait des gâteaux ». De toute évidence, personne ici ne m’a vue galérer en cuisine…

Un litre d’eau chaude, « mais pas bouillante », des paillettes de savon naturel « ou du savon de Marseille râpé », des cristaux de soude, du vinaigre blanc et l’affaire est faite.

Il faut tout de même remuer bien longtemps pour dissoudre l’ensemble des cristaux de soude. L’huile essentielle, « au choix suivant les propriétés et les senteurs voulues » se rajoute à froid.

De l’huile de coude, pas d’huile de palme

Le liquide épais obtenu peut servir pour se laver les mains mais aussi comme liquide vaisselle. « L’objectif est d’avoir un produit dégraissant qui permet d’enlever les taches et qui serait aussi un peu antiseptique. On va utiliser différents composants pour avoir une base lavante la plus saine possible » promet Caroline.

ça moussera moins. Il faudra peut-être penser à l’utiliser d’une autre façon, avec plus d’huile de coude ».

Plus d’huile de coude pour cesser d’abuser de l’huile de palme ? Banco : on vous donne la recette !

Pour un litre d’eau : 
– 120g de paillettes de savon ou du savon de Marseille râpé.
– Deux cuillères à soupe de cristaux de soude.
– Deux cuillères à soupe de vinaigre blanc.
– Une vingtaine de gouttes d’huile essentielle (menthe, citron, tea tree, géranium rosat, etc.).
– En option : ajouter selon l’envie une cuillère à soupe d’aloe vera
Le mélange
Plonger dans l’eau chaude (mais pas bouillante) pour faire fondre le savon. Verser les cristaux de soude et le vinaigre blanc. Remuer longuement l’ensemble jusqu’à la dissolution totale des cristaux. La préparation va s’épaissir au bout de 24 heures. S’il semble trop épais, il est possible de diluer avec un peu d’eau mais cela va également diluer les pouvoirs lavant et dégraissant.
Une fois le mélange refroidi, ajouter l’aloe vera et/ou l’huile essentielle.

Près de Fougères : qui veut investir dans la centrale biogaz ?

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La construction de la centrale biogaz va bon train, sur la zone de l'Aumaillerie à La Selle-en-Luitré, comme en témoigne cette photo faite depuis un drone.

La construction de la centrale biogaz va bon train, sur la zone de l’Aumaillerie à La Selle-en-Luitré, comme en témoigne cette photo faite depuis un drone. (© Ménard TP.)

La centrale biogaz de l’Aumaillerie, ou CBAUM, est en cours de construction et devrait commencer à produire du biométhane à partir de l’été prochain à La Selle-en-Luitré.

Ce gaz sera réinjecté dans le réseau public de distribution de gaz et le digestat (résidu de la fermentation organique) sera valorisé sur les terres agricoles.

Lire aussi : Biogaz : une grosse usine pousse aux portes de Fougères

Pour quoi faire ?

Le projet est porté depuis 2013 par la société Vol-V biomasse, devenue depuis Engie Bioz, avec la volonté de « mettre en place une filière durable de production d’énergie verte ». Une démarche à laquelle la société souhaite associer les habitants proches de la centrale, comme l’explique Clémentine Mazières, chef de projet à Engie Bioz.

Nous voulons que les riverains puissent investir dans un projet de proximité 

Pour cela, la société a fait appel à Enerfip, une plateforme de financement participatif dédiée aux énergies renouvelables. Avec un double but, explique Jérôme Blanc, chef de projet à Enerfip : permettre à des particuliers de devenir « un acteur de la transition énergétique », tout en leur assurant un placement assez intéressant de leur épargne.

La centrale de l'Aumaillerie devrait commencer à produire du gaz vert cet été.

La centrale de l’Aumaillerie devrait commencer à produire du gaz vert cet été. (© Ménard TP.)

Comment ça marche

 Si vous souhaitez participer à l’opération, vous devez souscrire des obligations. Pour faire plus simple, vous prêtez de l’argent à la société CBAUM (centrale biogaz de l’Aumaillerie) pour une durée de cinq ans. Chaque année, vous touchez 5 % d’intérêts bruts (minimum 3,5 % d’intérêts nets après imposition) et vous récupérez votre mise de départ au bout des cinq ans. Exemple : si vous souscrivez pour 1 000 €, vous touchez chaque année au moins 35 € nets et vous récupérez les 1 000 € au bout de cinq ans.

La souscription minimale est de 10 €. Aucun frais n’est ajouté. Le plafond de la collecte, lui, est fixé à 500 000 € (pour un coût de réalisation de la centrale de 9 M€ ).

Qui peut souscrire et quand ?

. La souscription va débuter le 27 février, mais uniquement dans un premier temps pour les 24 agriculteurs partenaires de la centrale.

À partir du 26 mars, la souscription sera ouverte et réservée aux habitants de Fougères agglomération et de six autres communes comprises dans le plan d’épandage (Balazé, Châtillon-en-Vendelais, Larchamp, Montautour, Princé, Saint-Ellier-du-Maine).

À partir du 16 avril, elle s’ouvrira aux habitants d’Ille-et-Vilaine puis le 7 mai aux habitants de la Bretagne, si le plafond n’est pas atteint. La fin de la collecte de financement est fixée au 24 mai.

Comment participer

Pour vous informer, vous pouvez aller sur le site enerfip.fr ou contacter la plateforme, soit par téléphone au 01 119 34 111 soit par mail à info@enerfip.fr

Pour investir, rendez-vous sur enerfip.fr/cbaum où la démarche à suivre est expliquée.

Pour les personnes moins à l’aise sur internet ou qui souhaiteraient avoir des informations de vive voix, Enerfip tiendra un stand sur le marché de Fougères le 4 avril et une permanence sera assurée le même jour dans l’après-midi, dans un lieu encore à définir.

Municipales. Gérard Galpin mène la liste « Sillé ville de demain »

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« Sillé Ville de Demain » est menée sans surprise par le maire sortant, Gérard Galpin.

« Sillé Ville de Demain » est menée sans surprise par le maire sortant, Gérard Galpin. (©DR)

Gérard Galpin, maire sortant de Sillé-le-Guillaume (Sarthe), est candidat à sa succession avec une équipe à moitié renouvelée. Sa liste s’intitule « Sillé Ville de Demain ».

« Sillé Ville de Demain » c’est donc le nom de la liste de Gérard Galpin, candidat à sa succession, à la mairie de Sillé-le-Guillaume.

« La liste est composée de 11 sortants et de 10 nouveaux ». Il y a donc du sang neuf et le premier magistrat de la commune est très heureux de voir notamment des jeunes motivés s’engager pour servir les Silléennes et les Silléens.

Pas d’autre liste pour le moment

Gérard Galpin et les siens n’annoncent pas de projets spectaculaires. Ils ne font pas de promesses difficiles à tenir, surtout, qu’a priori, ils ont le champ libre. Autrement dit, ils n’ont personne en face à ce stade.

« Nous avons travaillé sur le bien vivre à Sillé », souligne le maire sortant. « Nous sommes en réflexion sur l’environnement et la revitalisation du centre-ville », enchaîne-t-il.

Dans la rubrique économie « Sillé Ville de Demain » fait du centre-ville et les commerçants, une priorité. Les intéressés vont apprécier cet objectif qui figurait déjà dans la campagne de 2014…

La réhabilitation du patrimoine bâti public et privé figure également au programme.

Les services à la personne ne sont pas oubliés.

« On va accompagner les personnes qui le désirent dans les démarches administratives ».

« La mobilité et la sécurité pour tous » sont également au programme de la liste.

Parallèlement à la mise en valeur des atouts de Sillé-le-Guillaume, dont le tourisme, M. le Maire parle d’une « nouvelle philosophie à notre ville ».

La philo, c’est beau en théorie.

Les élus seront surtout jugés sur la pratique.

Sillé plus près de l’hôpital grâce au train

Toujours dans l’idée « Sillé Ville de Demain », il devrait avoir un service très pratique celui-là.

« Dans trois ans, grâce au train, Sillé sera à une dizaine de minutes de l’Université et de l’hôpital du Mans. Initialement, 5 arrêts étaient prévus. Finalement, on devrait passer à 11 », se réjouit Gérard Galpin.

Dans trois ans, on sera déjà à mi-mandat.

En attendant, on fera bientôt le bilan de l’équipe sortante. C’est important de savoir si elle a tenu ou pas ses promesses.

 

Sillé Ville de Demain. Les candidats

Galpin Gérard, 63 ans, retraité, maire sortant

Garreau Josiane, 64 ans, retraité

Poisson Eric, 60 ans, responsable technique, conseiller sortant

Péchabrier Claire, 70 ans, maire adjoint culture sortante

Barrier Guy, 64 ans ; 1er adjoint sortant

Gaignard Nathalie 54 ans, conductrice de car, conseillère sortante

Beunardeau Christophe, 50 ans directeur d’établissement sanitaire, social, médico-social, maire adjoint aux sports sortant

Renault Isabelle, 46 ans, aide soignante, conseillé sortant

Simon Jean-Luc, 54 ans, responsable matériel et sécurité, conseiller sortant

Martineau Blandine, 58 ans, artiste peintre, conseillère sortante

Feutrie Jean-Pierre, 64 ans, retraité

Vanessa Claude 37 ans, Intérimaire, conseillère sortante

Chadeneau Denis, 37 ans, chargé de commande public

Malherbe Isabelle, 58 ans, conductrice de car, conseillère sortante

Busson Jean-Michel, 53 ans, ouvrier de production

Bren Audrey, 35 ans, assistante maternelle

Modat Olivier 49 ans, responsable d’équipe de production

Lepinay Catherine, 49 ans, conseillère funéraire

Massé Philippe, 58 ans, technicien en gestion de production

Suppléants :

Decore Isabelle, 46 ans, responsable de secteur GRDF

Goutard Loïc, 54 ans, régleur en plasturgie

 

Municipales à Villerville. Michel Marescot présente ses colistiers

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Le maire sortant a présenté sa liste.

Le maire sortant a présenté sa liste. (©Le Pays d’Auge)

Samedi 22 février 2020, Michel Marescot a présenté sa liste pour les municipales à Villerville (Calvados). Le maire sortant brigue un sixième mandat.

Composée de quinze noms, la liste comprend femmes et hommes âgés de 43 à 73 ans.

Lire aussi : MUNICIPALES. Michel Marescot briguera un 6e mandat à Villerville

La liste complète

Michel Marescot, 64 ans, maire sortant, juriste.

Michel Dabout, 73 ans, conseiller municipal sortant, technicien informatique.

Sophie Dierre, 58 ans, adjointe au maire sortant, infirmière.

Éric Estrier, 58 ans, chef d’entreprise .

Catherine Filipov, 57 ans, conseillère municipale sortante, artisan.

Corinne Germain Drouen, 55 ans, conseillère de vente.

Catherine Janod Lefebvre, 64 ans, chef d’entreprise.

Anne Joseph, 43 ans, animatrice culturelle.

Germain Lelarge, 48 ans, chef d’entreprise.

David Marès, 48 ans, technicien.

Emmanuelle Mellot-Kristy, 60 ans, décoratrice

Sophie Nguyen Van Mai, 49 ans, gérante de biens immobiliers.

Olivier Papazian, 43 ans, chef d’entreprise 

Didier Papeloux, 70 ans, chef d’entreprise 

Vincent Vanderstuyf, 55 ans, journaliste.

Mort du dentiste de Dourdan : un suspect mis en examen

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Le corps de Jorge Brion a été retrouvé dans sa maison de Coulombs

Le corps de Jorge Brion a été retrouvé dans sa maison de Coulombs (©Actu Essonne)

Une semaine après la découverte du corps de Jorge Brion, chirurgien-dentiste opérant à Dourdan, le parquet de Chartres a décidé de la mise en examen d’un suspect et de son placement en détention provisoire. Pour rappel, l’homme de 53 ans a été retrouvé mort, ligoté, partiellement dénudé et enveloppé dans une bâche le 17 février dernier à son domicile de Coulombs (Eure-t-Loir).

Lire aussi : Essonne. La piste criminelle privilégiée après la découverte du corps d’un dentiste de Dourdan

Un suspect originaire de l’Essonne

Le suspect, un homme d’une trentaine d’années, a « d’abord fait l’objet d’une garde à vue durant le week-end », comme le confirme le parquet de Chartres en charge de l’affaire. L’homme serait domicilié en Essonne. Selon les informations recueillies, ce dernier aurait entretenu « une relation avec le défunt » dans les semaines qui ont précédé la découverte du corps de Jorge Brion.

Lire aussi : Essonne. Qui était Jorge Brion, le dentiste de Dourdan, retrouvé ligoté dans une bâche ?

Lors de la perquisition du domicile du suspect, les enquêteurs auraient ainsi découvert le fameux portefeuille de la victime. Ce dernier avait disparu au même titre téléphone portable. 

Lire aussi : Affaire du dentiste de Dourdan : la piste de la strangulation écartée

Une conférence de presse doit se tenir ce lundi 24 février à 17h30. Les premières pistes concernant les mobile du meurtre


Un homme de 28 ans retrouvé inconscient dans un incendie à Domfront

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Le bâtiment était en feu lorsque les pompiers sont arrivés.

Le bâtiment était en feu à l’arrivée des pompiers. (©Le Publicateur Libre)

Lundi 24 février 2020, à 7 h 09, un feu s’est déclaré dans un atelier de serrurerie-ferronnerie rue de Livet. A l’arrivée des pompiers, le bâtiment était embrasé aux trois quarts. Leur intervention a été rendue difficile par la présence de bouteilles d’acétylène, d’oxygène et de propane, avec un risque d’explosion avéré.

Lire aussi : A Domfront en Poiraie, l’ambulancière est aussi pompier volontaire

Une victime

Au cours de leur reconnaissance, les pompiers ont découvert une victime, un homme de 28 ans, employé dans l’entreprise. Il se trouvait dans un état grave et inconscient à l’arrivée des secours. Il a été aussitôt pris en charge par l’équipe médicale du SMUR de Domfront en Poiraie (Orne) et les sapeurs-pompiers.

Un important dispositif a été mis en place par les pompiers pour éteindres les flammes.

Un important dispositif a été mis en place par les pompiers pour éteindres les flammes. (©Le Publicateur Libre)

Sur place, 40 sapeurs-pompiers des centres de Domfront, Lonlay-l’Abbaye, Passais-Villages, La Ferté-Macé et l’état major d’Alençon, se sont mobilisés pour éteindre les flammes. Ils ont déployé un important dispositif avec trois engins pompes, une échelle aérienne, une ambulance, un véhicule risques technologiques et un poste de commandement.

Des odeurs de gaz

L’intervention était toujours en cours à 10 h 30. Le capitaine Eric Guais, chef de colonne, soulignait :

Le feu est éteint mais des odeurs de gaz sont présentes. Nous sommes maintenant sur une phase de refroidissement des bouteilles pour qu’elles retrouvent une température normale entre 10 et 15° pour éviter tout risque  d’explosion.

Un périmètre de sécurité a été mis en place ainsi qu’une déviation. Une enquête de gendarmerie est ouverte pour déterminer les causes de cet incendie.

VIDÉO. Le site du cimentier Lafarge, à Pantin, bloqué par des militants d'Extinction Rebellion

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Cinq militants ont totalement bloqué l'accès à une partie du site Lafarge à Pantin, ce lundi 24 février 2020.

Cinq militants ont totalement bloqué l’accès à une partie du site Lafarge à Pantin, ce lundi 24 février 2020. (©Twitter Extinction Rebellion)

Le collectif Extinction Rebellion serait, de nouveau, derrière l’action qui est actuellement menée sur le site du cimentier Lafarge à Pantin, en Seine-Saint-Denis.

Lire aussi : Val-d’Oise. Démolition des silos de l’ex-cimenterie Lafarge : une page se tourne à Cormeilles-en-Parisis

En effet, ce lundi 24 février 2020, cinq militants du groupe Extinction Rebellion bloquent l’accès de ce site. Ils affirment être accrochés aux grilles où passent normalement les camions. La police est arrivée sur place tôt ce matin.

Un blocage qui dure

Cela fait suite à une action qui dure depuis plusieurs jours : une barge d’approvisionnement a été bloquée pendant huit jours sur le canal de l’Ourcq, à Pantin.

« Des rebelles bloquent les accès routiers d’une centrale béton Lafarge à Pantin. Après une semaine d’occupation sur une barge d’approvisionnement, les militants coupent aujourd’hui tout accès au site. Pour l’arrêt immédiat de tous les écocides ! », affirme Extinction Rebellion.

Dans un communiqué, le groupe Les Barges explique : « Le fait d’occuper ce lieu en permanence nous a permis de nous organiser efficacement tout en imposant une pression psychologique à notre opposant : Lafarge. […] Le béton représente à lui seul 8% des émissions mondiale de CO2. »

Municipales 2020. Jean-Christophe Meunier tête de liste à Périgny

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De gauche à droite : Sabrina Chenevrel, Olivier Duchatellier, Mickaël Toutain, Christophe Enie, Jacques Egbert, Jérémy Moru et Jean-Christophe Meunier.

De gauche à droite : Sabrina Chenevrel, Olivier Duchatellier, Mickaël Toutain, Christophe Enie, Jacques Egbert, Jérémy Moru et Jean-Christophe Meunier. (©L’Orne Combattante)

Installé à Périgny depuis le mois d’août 2017, Jean-Christophe Meunier, réalisateur, a accepté de mener une liste pour les élections municipales :

On est venu me voir pour savoir si ça m’intéressait, afin d’éviter que la commune soit mise sous tutelle. C’est une nouvelle aventure qui m’intéresse, et on va essayer de faire ça bien.

Parmi les projets évoqués par celui qui sera la tête de liste, l’animation du village de 28 habitants : « On veut continuer à faire vivre le village, peut-être essayer de mettre un peu plus d’animations, de faire du lien entre les gens. » La dénomination des rues afin de permettre l’arrivée de la fibre est aussi au programme.

Lire aussi : Municipales 2020. Christiane Portier, maire de Périgny, ne se représente pas

3 conseillers sortants

Sur la liste, trois des sept candidats ont déjà effectué un mandat précédemment. Il s’agit de Mickaël Toutain, 51 ans et ouvrier, de Sabrina Chenevrel, 42 ans et ergothérapeute et de Jacques Egbert, 56 ans et agriculteur. En plus de Jean-Christophe Meunier, 50 ans et réalisateur, ce sera donc une découverte pour Jérémy Moru, 27 ans et technicien en projection plastique, Christophe Enie, 49 ans et technicien SAV et Olivier Duchatellier, 48 ans et agriculteur.

« Ce qui est bien avec cette liste, c’est qu’on a des gens qui habitent un peu dans chaque partie du village, ça permet une bonne représentation », ajoute Jean-Christophe Meunier qui a prévu de passer du temps avec la maire sortante pour faire la transition.

Lire aussi : Le CPIE des collines normandes recherche des observateurs de loutres près de Condé-en-Normandie

Incident sur le RER A : le trafic interrompu dans Paris ce lundi

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Ce lundi 24 février 2020, le trafic est totalement interrompu sur le RER A dans Paris entre les stations Nation et Auber.

Ce lundi 24 février 2020, le trafic est totalement interrompu sur le RER A dans Paris entre les stations Nation et Auber. (©Maxime Gil / Actu Hauts-de-Seine )

Ce lundi 24 février 2020, en raison d’un incident en gare de Châtelet – Les Halles à Paris le trafic est totalement interrompu sur le RER A entre les stations Nation et Auber, dans les deux sens de circulation. En répercussion, le trafic est fortement perturbé sur l’ensemble de la ligne.

Selon la RATP, la durée d’intervention est fixée à une heure environ. La reprise du trafic est estimée à 11h45.

Axe Nantes-Rennes : des bouchons attendus cette semaine près de Nozay

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Des portions de quatre voies existent déjà entre Laval et Mayenne.

2 km de quatre-voies sont concernés par une réduction de voie, à hauteur de Nozay (Loire-Atlantique), du lundi 24 au jeudi 27 février 2020. (Photo d’illustration Actu.fr)

Dès ce lundi 24 et jusqu’au jeudi 27 février 2020, les automobilistes ne pourront circuler que sur une seule voie, sur la RN 137 reliant Nantes à Rennes, pendant 2 km, au niveau de Nozay (Loire-Atlantique).

Travaux à hauteur de Nozay

Les deux sens de circulation sont concernés par cette réduction de voie, mise en place pendant ces quatre prochains jours, 24 heures sur 24.

Les travaux sur un ouvrage d’art à hauteur de Nozay rendent nécessaire la mise en place d’un basculement de chaussée du sens Nantes-Rennes sur le sens opposé », annonce Bison Futé. »

Lire aussi : Loire-Atlantique : d’importants moyens déployés pour retrouver une femme disparue en forêt du Gâvre

Des bouchons attendus aux heures de pointe

La vitesse sera également abaissée le temps de la réalisation des travaux. 

Ces dispositions sont susceptibles d’allonger sensiblement les temps de déplacement dans ce secteur, dans les deux sens de circulation et engendrer temporairement des phénomènes de congestion aux heures de pointe. Il est conseillé à tous les usagers de faire preuve de prudence à l’approche de ce secteur », prévient Bison Futé.

Lire aussi : Près de Châteaubriant : accrochez-vous, les courses de caisses à savon sont de retour !

Vol avec violence sur une dame de 84 ans : le suspect interpellé à Forges-les-Eaux

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Le suspect a été interpellé après avoir été reconnu sur les images de la vidéo surveillance de Forges-les-Eaux.

Le suspect a été interpellé après avoir été reconnu sur les images de la vidéosurveillance de Forges-les-Eaux. (©illustration /L’Eclaireur-La Dépêche)

Samedi 22 février avenue des sources à Forges-les-Eaux, une personne de 84 ans a été victime d’un vol avec violence. Son agresseur l’a poussé et lui a arraché son sac avant de s’enfuir. Blessée, la retraitée a été emmenée au Chu de Rouen. Elle s’en sort avec 10 jours d’incapacité de travail (ITT).

Lire aussi : Brigade de gendarmerie de Forges-les-Eaux : les points noirs restent les cambriolages et escroqueries

Suspecté de cette agression et du vol, un homme a été interpellé peu de temps après les faits, alors qu’il passait tranquillement devant la gendarmerie. La vidéosurveillance de la Ville a permis de l’identifier.

Déjà connu des services de gendarmerie et suspecté d’au mois trois autres vols : deux en décembre 2019 et un en janvier 2020, le suspect a, là encore, reconnu les faits.

Placé en garde à vue. Il sera présenté au tribunal de Dieppe ce lundi 24 février.

Seine-et-Marne : retour en images sur l'incendie de l'entreprise de recyclage à Marcilly

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Image impressionnante de l'ampleur du sinistre.

Image impressionnante de l’ampleur du sinistre, samedi 22 février 2020 à Marcilly. (©Franck Desprez communication SDIS77)

L’incendie qui a ravagé l’entreprise DRM à Marcilly, samedi 22 février 2020 a été particulièrement violent. 

Une centaine de sapeurs-pompiers, venus de 22 centres de secours, ont été mobilisés pour éteindre le feu qui se propageait dans une entreprise de démolition et de revente de métaux à Marcilly, l’entreprise DRM.

Lorsque les premiers engins arrivent sur site, « l’incendie ravage déjà un stockage de matériaux divers et carcasses de voitures sur 500 m2 » précisent les sapeurs-pompiers.

Le feu menace de se propager à un bâtiment servant entre autres de stockage de moteurs et diverses cuves. Trois lances à main et une lance canon sur un fourgon mousse grande puissance ont permis d’éviter la propagation du feu.

Lire aussi : Seine-et-Marne : incendie dans une entreprise à Marcilly

Les pompiers ont eu besoin d’établir une ligne d’eau longue de 1 600 mètres afin d’alimenter les engins. Mais c’est grâce à la réalisation de « plusieurs tapis de mousse » que les secours sont parvenus à éteindre l’incendie.

 


Monts d'Aunay et Verson : moins de lâchers de poissons à l'avenir dans l'Odon

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Pêche aux Monts d'Aunay : l'Hameçon Versonnais a annoncé qu'il y aurait moins de lâchers de poissons à l'avenir dans l'Odon.

Pêche aux Monts d’Aunay : l’Hameçon Versonnais a annoncé qu’il y aurait moins de lâchers de poissons à l’avenir dans l’Odon. (©Archives – La Voix Le Bocage)

C’est dans une salle comble que s’est tenue l’assemblée générale de l’Hameçon Versonnais, vendredi 7 février 2020, à la mairie d’Aunay-sur-Odon (Les Monts d’Aunay), présidée par Mickaël Delaunay.

Côté garderie, l’association dispose de 5 gardes assermentés. Le président se félicite puisque : 

Un seul procès-verbal a été dressé en 2019 pour armement illicite. Nous constatons que de moins en moins de personnes ne respectent pas les règles. Nous invitons les pêcheurs à ouvrir l’œil et à nous signaler toute infraction sans attendre l’assemblée générale. »

Lire aussi : Pêche. Un parcours no-kill aménagé sur la Vire

Nombre d’adhérents en baisse

L’an passé, l’association a organisé de nombreuses animations ; 2 permanences à Terre et Eau, 1 troc hameçon, des journées découverte, des lâchers de truites, une journée d’initiation à Val d’Aure, 3 journées nettoyage sur l’Odon et le Roucamps

Ces 2 cours d’eau sont quasiment propres. On ne coupe pas les arbres du bord, on aère le centre. »

Côté finances, l’année 2019 montre un déficit de 300 € « dû à la baisse des ventes de cartes. En 2018, nous avons vendu pour 6 600 € de cartes et en 2019 4 500 €. » Avec 590 cartes de pêche vendues en 2019, le nombre d’adhérents est en baisse.

25 / 30 cm minimum

Le Hameçon Versonnais gère l’Odon depuis 10 ans.

Grâce à notre gestion et aux poissons que les pêcheurs remettent à l’eau, nous avons maintenant beaucoup de belles truites (30/35 cm) dans l’Odon. Malgré la sécheresse et la pression de pêche, il y a beaucoup de poissons dans ce cours d’eau. Nous demandons aux pêcheurs de ne prélever que les poissons qui font entre 25 et 30 cm, et de remettre à l’eau ceux qui font plus ou moins. »

Lire aussi : Pollution dans la Vire juste à côté de l’usine d’eau potable de Vire Normandie

Lâchers en mars et avril 2020

Seront réalisés un lâcher de 250 kilos de truites sur Verson le 7 mars et 3 lâchers sur Aunay les 9 et 26 mars et le 23 avril, 100 kilos de truites seront lâchées à chaque fois sur Aunay.

Il y a suffisamment de truites fario pour faire beaucoup de lâchers. Notre but est de passer à 1 lâcher sur l’ensemble du Hameçon Versonnais. Les truites lâchées n’amènent rien à la rivière, c’est simplement pour faire plaisir aux pêcheurs. Notre rôle est aussi d’éduquer les pêcheurs ».

Cyclisme. Jocelyn Canevet (Gourin) s'impose à Plounévez-Moëdec

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Victoire de Jocelyn Canevet (chasseurs de Gourin) à Plounévez-Moëdec.

Victoire de Jocelyn Canevet (chasseurs de Gourin) à Plounévez-Moëdec. (©Le Trégor. Bernard Guilcher)

Record de participation battu sur la course de Plounévez-Moêdec. Aurélie Lorinquer et l’Hermine Cycliste du Trégor ont enregistré 130 engagements !

Disputée sur l’usant circuit de Beg-ar-Ménez et sous le crachin, la primavera du Trégor a souri à l’échappée de cinq coureurs qui a compté jusqu’à 1’30 » d’avance sur l’imposant peloton.

Sur le dernier tour, Jocelyn Canevet (Gourin) est parti seul pour finir en solo. Il s’impose devant Mathieu Poupier (Team Côte de granit rose), Yoann Perennès (VC Chatelaulin), Marc-Hervé Le Bras (Hermine Cycliste du Trégor), de retour à la compétition, et Anthony Gouzouguen (VS Ploumagoar). Vincent Kerlouët (Hermine Cycliste du Trégor), parti en contre, prend la sixième place. Olivier Raoul (UCP Morlaix) remporte le sprint du peloton.

En D3-D4, victoire au sprint de Gilles Ropartz (All Breizh VTT) devant Guy Geffroy (OB Bégard) et Pascal Campion (UCP Morlaix).

Quelques photos de la primavera du Trégor

Nogent-le-Rotrou : la pizzeria La Villa se transforme en crêperie et devient La Bigoudine

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La Bigoudine vient remplacer l'ancienne pizzeria La Villa.

La Bigoudine vient remplacer l’ancienne pizzeria La Villa. (©Action Républicaine)

Exit les pizzas, l’ambiance italienne, exit La Villa tout court. Olivier Huet, gérant du restaurant, a voulu faire table rase du passé. Et le tout est parti d’une blague.

Des clients mangeaient dans le restaurant, et disaient que pour manger des crêpes, ils allaient vers La Ferté-Bernard. Pour rigoler, je leur ai donc lancé je vais ouvrir une crêperie alors. 

Puis, le restaurateur prend conscience de ce qu’il a dit et réfléchit à sa.

Je me suis dit que finalement ce n’était pas une si mauvaise idée.

Lire aussi : Commerce : le restaurant Chez Pierre à Nogent-le-Rotrou est repris

22 ans de pizzeria

Le projet mûri dans sa tête, et dans celle de sa femme. « Elle n’avait plus d’emploi depuis son départ de chez Leclerc. Donc on s’est posé la question. Que faire ? On s’en allait pour ouvrir quelque chose autre part ? », se sont questionnés les deux époux.

Et vient l’idée de ce challenge, après 22 ans de pizzeria, une envie de changement, un saut dans l’inconnu. « Le marché de la pizzeria s’essoufflait. » Et Olivier avec.

Le propriétaire espère avoir flairé le bon coup.

Il y a une vraie demande à Nogent sur la crêperie. Il y en n’a pas. On parle plus d’un restaurant à crêpes, pas d’une crêperie traditionnelle comme on souhaite le faire. 

Un bon coup qui a un prix : 30 000 €.

30 et 35 couverts

Sandrine, sa femme, est partie à Roscoff, effectuer un stage d’une semaine. Elle y apprend les techniques traditionnelles. Puisque la cheffe en cuisine, c’est elle. Olivier s’occupe simplement de la salle. Une salle refaite à neuf qui peut accueillir entre 30 et 35 couverts.

Une ambiance entre bois pur et noir qui donne tout son charme à une crêperie aux notes bretonnes. Des affiches colorées représentant des lieux emblématiques bretons. Le parquet blanc a laissé place à la tomette d’origine.

J’aime bien la décoration donc je voulais quelque chose qui casse avec le restaurant d’avant. Nous avons tout réaménagé l’esprit du restaurant. La Villa, c’est fini !

« Content du démarrage »

Pour leurs galettes, Olivier et Sandrine ont misé sur des produits locaux et frais.

 Nous avons du boudin de La Loupe, de la glace du Meilleur Ouvrier de France à Mortagne, du miel de Luigny.

Grâce aussi à leur page Facebook, les clients y déposent leurs avis plus ou moins bon en fonction de leurs goûts.

Nous avons déjà de très bons retours sur tous les points de notre crêperie.

Ouverte depuis le mardi 11 février 2020, le couple est maintenant lancé. « On est content du démarrage », lâche Olivier avant de partir décrocher le téléphone pour une nouvelle réservation.

 

Pratique : Ouvert du mardi au samedi soir, de 12 h à 13 h 45 et de 19 h à 21 h 30. Fermé le samedi midi, dimanche et lundi. Téléphone : 0237528920

Saint-Malo : les candidats ont passé leur grand oral devant les chefs d'entreprise

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Parmi les constats communs des candidats, la nécessité de rénover la voirie dans les zones.

Parmi les constats communs des candidats malouins aux Municipales, la nécessité de rénover la voirie dans les zones. (©Le Pays Malouin)

Vingt minutes pour exposer leur programme économique devant les chefs d’entreprise : c’était l’exercice proposé par l’association Asprézica, mardi 11 février 2020, aux candidats à l’élection municipale de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).

Ils s’y sont prêtés – eux, ou un des membres de leur liste – chacun dans leur style… mais avec pas mal de constats et de mesures en commun : plan d’investissement pour la voirie des zones, plan vélo, parking relais, vidéo protection, mais aussi parking équipé pour les poids lourds en transit, un vieux serpent de mer…

Anne Le Gagne, Saint-Malo au cœur des possibles

La candidate dit vouloir instaurer des échanges continus entre la Ville, l’agglo et les chefs d’entreprise. Elle propose de créer « une agence de développement économique » et « un comité de pilotage d’activités économiques qui se réunirait cinq fois par an et permettrait de suivre les projets ».

Elle propose en outre un label « Produit en Pays de Saint-Malo », « avec des critères fixés en commun pour rayonner dans la région, mais aussi en France et à l’international ».

Lire aussi : Elections municipales à Saint-Malo : Anne Le Gagne dévoile trente-trois noms de sa liste

Romain Poujol, Saint-Malo Cité Verte et Solidaire

La liste Saint-Malo Cité Verte et Solidaire entend « favoriser le maintien ou la création d’espaces verts dans les zones ». Romain Poujol estime que la vidéosurveillance est « une fausse bonne idée ».

« Je préfère plus de policiers sur le terrain. »

L’équipe menée par Christine Bourquard veut un réseau de bus gratuit. Cela fera-t-il augmenter le versement transports dont s’acquittent les entreprises ?

Le candidat nuance :

« La gratuité ne se fera pas du jour au lendemain. Sachez que Dunkerque, qui a rendu ses transports publics gratuits, n’a pas augmenté le versement transports. »

Lire aussi : Elections Municipales 2020 à Saint-Malo : Christine Bourquard veut un menu bio chaque jour pour les Malouins

Alain Guillard, Saint-Malo Autrement

Le candidat estime que pour régler les problèmes de circulation et d’usure de la voirie, il faut une cohérence dans les installations, une hiérarchisation des voies et des espaces.

Par exemple, « installer un bar à bières entre un ferrailleur et une usine agroalimentaire, ça pose problème ».

Concernant les difficultés à trouver des salariés, et à les loger, « il faut stopper l’immobilier tel qu’il est conçu aujourd’hui, ne pas laisser faire au fil de l’eau, imposer une proportion de logements sociaux en fonction de chaque quartier ».

Lire aussi : Elections municipales : Saint-Malo Autrement en ordre de marche

Jean Coudray, Tous Malouins

Le candidat de la majorité sortante rappelle avoir voté pour les quatre délibérations concernant le projet des Nielles, « une locomotive ». Il évoque une solution pour le parking poids lourds autour de l’ancienne fourrière, zone des Fougerais, estime qu’il faut libérer de l’espace près de la gare pour le tertiaire.

Concernant l’urbanisme, « nous avons besoin de 600 logements par an pour rester à 50 000 habitants ».

« Le foncier solidaire, nous l’avons fait à Rothéneuf et à l’ancienne école des Cottages, il faut continuer. »

Lire aussi : Élections municipales à Saint-Malo : Jean Coudray dévoile les noms de ses colistiers

Stéphane Perrin, Saint-Malo c’est vous

Pour la sécurité dans les zones, « rien ne vaut la présence humaine, il faut mieux articuler les rondes entre polices nationale et municipale », estime Stéphane Perrin.

Concernant la fiscalité, « il faut être lucide étant donnés les deux investissements importants en cours (AquaMalo et musée maritime, NDR), que je ne conteste pas. Il va falloir être très vigilant sur ce qu’on va faire et ne pas faire, pour rester à un niveau de fiscalité soutenable. »

Le candidat exprime en outre une inquiétude pour l’avenir : « Je crains que l’eau ne nous coûte de plus en plus cher » car la région malouine n’est pas productrice d’eau potable et doit ‘l’importer’.

Lire aussi : Elections municipales à Saint-Malo : Stéphane Perrin dévoile sa liste

Gilles Lurton, Saint-Malo, notre lien

Pour le candidat député, la ZI Sud doit être « restructurée », « optimisée » et il faudrait y autoriser l’aménagement de showrooms.

« La ZI Nord est grandement conquise par le logement. Restent les terrains de l’Afpa, très vastes. Il faut aussi redynamiser le cœur de ville, d’autant que des cellules commerciales périphériques ne font pas le plein. Nous sommes loin d’avoir épuisé les capacités autour du port de commerce, qui n’a toujours pas de pôle de réparation des bateaux. »

Lire aussi : Municipales à Saint-Malo : Gilles Lurton dévoile sa liste

Pascal Lejars, Rassemblement pour Saint-Malo

Évoquant la fiscalité, le colistier de Philippe Miailhes estime que « les entreprises aimeraient comprendre la méthode de taxation et à avoir un droit de regard sur les budgets générés ».

Lui aussi constate la difficulté à loger les salariés :

« Il y a une proportion déraisonnable de salariés qui font de vingt minutes à une heure de trajet pour aller travailler. Il faut créer un organisme paritaire pour constituer une réserve de logements pour les employés de sociétés malouines, avec accès prioritaire. »

Lire aussi : Marine Le Pen sur le marché de Saint-Malo

Municipales 2020. Stationnement et circulation à Caen, Joël Bruneau veut créer 1 350 places de parking

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Joël Bruneau est candidat à sa succession à la mairie de Caen (Calvados), aux municipales de mars 2020.

Joël Bruneau est candidat à sa succession à la mairie de Caen (Calvados), aux municipales de mars 2020. (©DR/MG Liberté Caen)

Joël Bruneau est tête de liste de « Continuons Caen, ensemble », qui rassemble des sympathisants de droite et de centre droit. Il est candidat aux municipales de mars 2020. La rédaction de Liberté l’a sondé pour connaître ses propositions pour améliorer le stationnement et la circulation en centre-ville.

Lire aussi : Municipales 2020. Le maire sortant Joël Bruneau dévoile les 54 personnalités de sa liste

Création de 1 350 places de parking

« Notre objectif est de pacifier la ville afin de partager au mieux l’espace public et de sécuriser les voies douces, c’est pourquoi nous souhaitons : rénover les entrées de ville, en commençant par la rue d’Auge et le boulevard Clemenceau avec plus de végétation et plus de place pour les piétons et les cyclistes ; développer les zones 30km/h et laisser uniquement les grands axes à 50km/h ; et étendre la zone piétonne et la faire respecter avec notamment la mise en place de poteaux rétractables. Nous souhaitons aussi : 

Poursuivre la concertation avec les riverains pour proposer des solutions d’aménagement au cas par cas et développer la pédagogie avec un permis piéton pour les plus jeunes.

Concernant le stationnement, nous maintiendrons les gratuités existantes (samedi 11h-15h, le jeudi à partir de 17h, le parking Guillouard le samedi), les parkings relais et la navette gratuite. Nous proposons d’augmenter le nombre de places de stationnement avec un parking de 450 places sous la halle gourmande et un parking en ouvrage de 900 places à la gare pour limiter le nombre de voitures en ville et inciter l’usage des transports publics. »

Lire aussi : Municipales 2020 à Caen. Pour le vélo, le candidat Joël Bruneau veut débloquer 24 millions d’euros

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